Le vendredi 2 décembre, Yvan Benedetti comparaissait devant le tribunal correctionnel de Paris, pour avoir, à l'automne 2019, expulsé manu militari d'une manifestation contre la PMA et la GPA une équipe de presse du journal « Quotidien ».
Rappelons tout d'abord que la PMA et la GPA, dans l'esprit du législateur français, c'est à dire des lobbies qui dictent les Lois de leur république, ne seront point destinées à permettre à de vrais couples, malheureusement frappés d'infertilité, d'avoir des enfants qu'ils éduqueraient dans la normalité pour en faire des Français responsables, mais bien à satisfaire les lubies et les caprices de minorités à la sexualité marginale, avides d'acheter une maternité ou une paternité que leur refusent à bon droit tant la nature et la biologie que la plus évidente moralité publique...
Les Nationalistes, fidèles à la doctrine d'Alexis Carrel, ne peuvent décemment accepter cette monstruosité, que constituera la mise sur le marché de la plus innocente des vies humaines, celle de l'enfant à naître.
Rappelons maintenant aussi à qui les militants avaient affaire ce jour-là : les équipes du Quotidien, fidèles héritières de celles du Petit Journal, qui ne viennent pas dans nos manifestations pour informer le public. Non, ce sont des ennemis politiques et leur but est uniquement de discréditer les nôtres, de les faire passer pour des abrutis, des brutes épaisses.
Notons aussi que ces journalistes en service commandé sont capables de médiatiser, contre la parole donnée, l'identité d'une militante, sans se soucier le moins du monde des conséquences que cela peut avoir pour elle, pour son travail, sa vie de tous les jours...
Pour nuire aux manifestants du bon sens et du bon droit, ces forcenés pseudo-journalistiques de toutes les perversions usent de stratagèmes éculés : ils placent, si possible hors de portée de la foule, par exemple au balcon d'un immeuble, quelque provocateur qui agitera tel drapeau hostile au nez des manifestants, pour filmer les réactions de ceux-ci et, après en avoir soigneusement coupé l'essentiel, ne diffuser que ce qui est caricatural, excessif.
Le combat politique est un combat : pour empêcher ces propagandistes de la nouvelle STASI culturelle et médiatique de faire leur sale besogne, Yvan Benedetti, accompagné de deux militants, a tenté de faire barrage en déréglant le matériel de prise de son et de vue.
Pour cela, il fut poursuivi pour dégradations, tandis que les deux camarades qui l'accompagnaient se voyaient également reprocher de bien illusoires violences.
Le Tribunal correctionnel ne retint pas ces violences et se borna à condamner pour les prétendues dégradations. Une peine de 150 jours amendes à 10€ chacun fut prononcée, ce qui signifie qu'en cas de non-paiement, notre camarade est sérieusement menacé par 150 jours de prison.
Notre courage n'a pas de prix, la vérité non plus.
Nous ne lâcherons rien !
Comments