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À l’issue du conseil des ministres, Darmanin confirme la dissolution de l’Alvarium


Le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, s’est fendu d’une petite envolée lyrique à la sortie du conseil des ministres : « Notre main ne tremble pas face au racisme et à la violence et nous le montrons une fois de plus avec cette décision ». Effectivement, la main du pouvoir ne tremble pas quand il s’agit de s’attaquer aux patriotes et nationalistes. En revanche elle est incroyablement molle lorsqu’il s’agit de s’attaquer à la vraie délinquance et à la criminalité.




Loin des inepties colportées par le gouvernement, l’Alvarium est une association dont la première raison d’être est d’assurer une action sociale « au service de ceux que l’Etat préfère ignorer ». C’est une communauté et un lieu de réunion convivial et militant qui, prenant acte de l’obsolescence des partis politiques et anticipant l’écroulement d’un Etat devenu aussi omnipotent qu’inefficace, a décidé d’agir à l’échelle locale. Elle entend créer des liens en Anjou entre ceux qui refusent la lâcheté et l’abandon de notre peuple et de son histoire.



Le gouvernement fait tout pour empêcher les Français conscients de se rassembler et de se communautariser. Ce qui semble l’effrayer le plus, c’est l’émergence de communautés qui essayent de s’organiser en dehors du système et de cette république cosmopolite.


La lutte sera rude, mais c’est dans les épreuves que l’on reconnaît les vrais hommes et les vrais amis.


« Vous lui dîtes « mon cher ami ». Mais si vous étiez traqué par la police, vous accueillerait-il sous son toit ? Non. Alors il n’est pas un ami. Point de test pour l’amitié hors de l’illégalité ».

Pierre-Antoine Cousteau.


Soutien à l’Alvarium !



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